Mes récoltes de cette année sont bien différentes. J’ai peu de légumes au potager, mais le déshydrateur fonctionne souvent.
Achillée millefeuille rose et blanche, monarde, thyms, fleurs de basilic, sariette d’hiver et origan sont allés au déshydrateur, pour s’en aller ensuite parmi les fines herbes ou parmi les tisanes. Mon origan est en train de commencer sa conquête de l’univers, d’ailleurs. D’un bac il est passé à quatre, et maintenant il en est sorti à plusieurs endroits. De l’autre potager il a aussi réussi à s’échapper, et à l’entrée il forme un buisson impressionnant. Quand il dépasse les bornes, j’en déshydrate encore.
Cerises d’été, cerises à grappe, camerises (tardives, celles-là!) et quelques fleurs de millepertuis (ici, la floraison est finie). Les baies ont été congelées pour usage futur.
Fleurs de thuya, camerises, œillet de poète, pissenlit, hémérocalles, capucines, amélanche. Cette récolte-là est devenue ma première tentative de levure sauvage.