Ah, bienheureux que vous êtes: vous avez pu, vous, oublier la saga du poulailler, puisque vous ne l’avez pas sous les yeux dès que vous faites le tour de chez vous. Moi, ce maudit poulailler qui reste là, je le veux disparu (parce que dégueulasse et au plancher pourri, car sinon j’aurais réfléchi à l’adoption de poules, qui sont fort utiles au jardin et sur le terrain!), car il cache précisément ce qui deviendra notre rond de feu, tout près de ma future (et utopique) cuisine extérieure. Quelques jours de soleil et de doux temps, un anniversaire récent (dont les cadeaux se sont transformés en outils pour l’Homme)… et il s’y mettait! À la destruction? Non: à la déconstruction! C’est que l’Homme, avec des outils, s’est senti investi d’une mission, celle de récupérer le bois réutilisable pour… se créer un espace de travail pour jouer avec ses outils (ai-je dit joué? je le pense!). Vroum, zoum, boum: voici ce qui en reste.
Pourquoi il en reste? Parce que le reste est une forme de thérapie (j’exagère…) pour l’ami qui a le premier mis la masse dans ses murs. Qu’il tient à revenir, presque un an plus tard, finir de se défouler. On l’attend!
Je ne peux que sourire à lire ce billet!
Ça te rappelle des souvenirs? (ou tu te moques de mon Homme? 😉
C’est fou ce que ce billet m’a fait du bien: je ne voyais plus que la structure maudite toujours debout et les piles de cochonneries… j’oubliais que la structure et les piles qui restent sont minuscules comparativement à celles de l’an passé!
Un peu des deux, les souvenirs et ton homme!
Y’a juste 24h dans une journée…
Y’a notre côté à vouloir récupérer…
Y’a qu’il faut admettre, parfois, qu’il y a des trucs qu’on ne peut pas récupérer!
Les trucs qu’on ne peut pas récupérer, il les brûle… mais il faut vraiment, vraiment que ça soit impossible à récupérer. Parce qu’au prix des matériaux neufs…!
Oui, juste 24 heures dans une journée. Mais avoir vu l’intérieur incroyablement insalubre de la chose avant de passer chez le notaire, j’aurais fait baisser mon prix d’achat un peu. (C’était assez dégueulasse que la vendeuse aurait accepté, photos à l’appui, je suis pas mal certaine!)
Allongez-vous et dites-moi pourquoi le mot «Poulailler» semble vous mettre dans cet état 😉
C’est même pu des farces! Je viens de prendre une photo de l’arrière de notre terrain… et ça fait dur! (Tsé le genre de terrain que tu vois en passant devant et tu te demandes comment les gens vivent ainsi? Ouin. Une chance que c’est pas visible de la route!)
M’enfin c’est le « pendant » qui est laid, et j’espère pouvoir utiliser cette photo un jour pour un bel effet avant/après, fleuri plutôt que… jonché!