Commençons par l’estomac. Il y a deux étés, au festival de musique électronique en plein air Éclipse, un des kiosques offrant de la nourriture était une crêperie mobile. Pour quelques dollars je pouvais me régaler d’épinards et de fromage et le Coco, lui, de Nutella et de bananes. J’ai été une cliente assidue. L’an passé, retour de la crêperie mobile. Répétition de mon désir insurmontable. C’était clair, et il me fallait l’admettre: j’adore les crêpes! De retour à la maison, je me suis aperçue que mon envie de crêpe, je l’avais rapportée dans nos bagages. Et elle allait croissant (non: crêpe (désolée, pas pu m’en empêcher)).
Faisons un détour par mon cerveau retors. Je vous ai parlé du Festival de la galette de sarrasin, dans mon coin. Eh bien au Festival, ce que j’ai vu (et mangé), c’était des crêpes (que l’on appelait galettes) natures, au sirop d’érable ou à la cassonnade. Or pourquoi donc appeler ça des galettes? Je me suis posée la question. J’ai tenté d’y répondre. Pour finir par y perdre le peu de latin qui me restait. Voyez-vous, techniquement (c’est-à-dire véritablement, dans ma réalité de traductrice/relectrice!), une crêpe, c’est sucré, et une galette, c’est… eh oui, salé. Donc à Éclipse le Coco mangeait des crêpes et moi, des galettes. Et donc le Festival près d’ici… euh… si vous permettez, je ne me mettrai pas ma communauté à dos pour un mot. Mais oui, y a… comme une incohérence entre la signification et l’usage, disons.
Évidemment, dans ce débat, c’est l’estomac qui remporte le combat. Mais dans ce cas-ci, le cerveau devait être de mèche avec lui, car je me suis mise à avoir de sournoises pensées. Un anniversaire approchait… un gros chiffre… et si on se payait un petit plaisir? Vous devinez la suite: j’ai commandé une crêpière et on a mangé crêpes et galettes plusieurs fois en quelques semaines. Et même si on peut, bien sûr, faire ses propres crêpes (et galettes!) dans une poêle ordinaire ou une pêle à crêpes, je n’ai aucun regret! Sans crêpière, je n’en faisais pas, des crêpes: c’est simple! Je la trouve bien pratique, ma crêpière électrique. Comment ne pas aimer son nom, aussi: Tibos?! Vous vous en doutez, la bibliothèque se remplit (et la campagnarde s’en réjouit).
(Nom retiré) organisent un concours pour lancer leur nouveau site web : (URL retirée)
Manu, j’ai retiré le nom de l’entreprise et l’URL de votre commentaire.
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Tsé, c’est pas toujours facile de faire des crêpes ou des galettes à notre goût!!!
pour la cuisson, j’ai dû faire un nombre incalculable d’essais (avec erreur) avant de trouver La FAÇON. Depuis, ya toujours les 2 même poêlons et le rêglage du rond toujours pareil que j’utilise.
Pas hâte de changer de four, ça va tout fucker ma patente!!!
Un autre avantage de ma crêpière! (Son désavantage? Son livret de recette pourri: l’anglais et le français ne comportent pas toujours les mêmes… PROPORTIONS! L’enfer! Je ne l’utilise plus!)
(Pour une famille nombreuse, autre désavantage: une seule surface; mais maintenant je fais un tas de crêpes, et je les garnis avant des les réchauffer quatre à la fois: ça va mieux!)
Pour les recettes, je suis des instructions trouvées en ligne, qui comprennent pas mal tout le temps de la farine de sarrasin (on est de son pays ou pas!), mais je me laisse aller aussi: l’important c’est plus la texture de la pâte que le respect de la recette!