Ces derniers temps, un certain adolescent a rapporté chez nous un virus aux visées sombres et aux tentacules étourdissants. Ce qui m’a sauvée (et continue de me sauver alors que je sens encore mon corps lutter contre la chose), c’est encore une fois les infusions de gingembre (et pas toujours déshydraté: frais aussi, car les morceaux déshydratés sont vite disparus dans les tasses de l’Homme, premier atteint). Même lors de maux de tête épouvantable, le gingembre semble avoir la capacité merveilleuse de me remettre sur mon piton.
Mais si la gorge vous pique ou prend feu, j’ai encore mieux! Prévoyez le coup: dès aujourd’hui, coupez de fines tranches de citron, remplissez-en un pot, et faites couler par-dessus autant de miel qu’il en faudra pour remplir les interstices. Mettez le pot au frigo pour quand le besoin s’en fera sentir, et ensuite, hop, une cuillerée ou deux dans une tasse d’eau chaude… ou une infusion de gingembre! C’est bon et ça fait un bien fou! (Source ici en anglais)
Sympa cette petite recette pour les mals de gorges.
Super blog d’ailleurs 😉
Pour bénéficier de toutes les vertus thérapeutiques du miel, il faut prendre du miel non pasteurisé.
La même chose est vraie du lait, mais bon, hein, ouan…
Paraît qu’il vaut mieux aussi prendre du miel aussi local que possible, que ça évite les allergies et peut aider à diminuer les allergies existantes. Je sais pas. Mais mon miel est plutôt local — le producteur est à deux villages — et c’est un choix que je fais chaque fois que je le peux, question d’encourager ma région.
Je suis tout à fait d’accord. Je fais la même chose pour le miel qu’on consomme juste pour son goût. Pour nos infusions hivernales, je me tourne par contre vers un miel non pasteurisé (et québécois!) pour avoir toutes ses propriétés antiseptiques. Mais pasteurisé ou non, c’est un bon baume pour la gorge.
J’adore le miel. Et les abeilles. J’ADORE!
Le moindre petit grattement de gorge est effectivement une belle excuse pour savourer une belle grosse cuillerée! Hé hé!
Autre petite astuce : ajouter du thym séché au moment de préparer l’infusion. Le thym a des propriétés antiseptiques et expectorantes. C’est par contre aussi un stimulant. Il vaut peut-être donc mieux le mettre dans les infusions du jour que du soir. (Quoique, quand on est malade, c’est pas un petit thym qui nous tiendrait réveillé…)
Ah, voilà qui est fort intéressant! J’ai planté, soigné et déshydraté du thym citron cette année. Frais, ça goûte surtout le thym, mais déshydraté, c’est très très citronné: miam!
Au moindre petit signe d’hypothétique éventuel mal de gorge, je concocte le « sirop d’oignon » de ma vieille marraine sorcière.
Un oignon haché sur lequel on verse une cuillère de miel (non pasteurisé bien sûr!). On couvre et on laisse au comptoir pendant 2-3h avant d’utiliser. On « déguste » une cuillère du liquide à toutes les heures. On en refait aux 24h… mais je n’ai jamais eu besoin d’en refaire!
Le Canneux me parlait d’oignon cru lui aussi y a 2-3 ans. Depuis la sinusite ou je ne sais que j’avais eue alors, je n’ai plus eu besoin… qu’on me parle de manger un oignon cru 😉