L’automne et ses quatre ans

C’est ahurissant, mais la chandelle dit vrai. Chandelle sur un gâteau-rond-au-chocolat-pas-de-glaçage. Demande spéciale de la mademoiselle. C’était ça où (sauf pour la forme) elle ne l’aurait pas mangé. M’enfin.

Pour l’occasion, nous sommes allés chez ma mère. Ci-dessus, ma puce qui discute avec sa grand-mère.

La visite au parc est un incontournable des visites chez grand-maman. Il ne faisait pas chaud, mais il faisait beau et la grande avait de l’énergie à revendre.
Et maintenant l’automne s’installe pour vrai. Potages aux courges, potager presque terminé (il me reste ce qui ne craint pas le gel, et nous n’avons eu que de petits gels jusqu’à présent; assez pour endommager les plants de tomates et le basilic (les quelques feuilles que j’avais laissées), mais rien de plus), et arbres qui prennent leur plus bel aspect. On essaie d’en profiter comme on peut. Pour le plaisir des poumons et des yeux.

Ci-dessus, une érablière qui se prépare à hiberner.

Même les agriculteurs terminent leur saison de culture, ensilant le maïs à vaches. (Parfait, ça veut dire que je ne verrai pas d’ours dans le champ! C’est pas que je ne les aime pas, c’est que mon labrador les aime trop!)

Et si vous ne me croyiez pas, que l’automne s’installe vraiment, alors voilà pour vous… Elles ont le bec pointé en plein vers le sud, mais elles s’apprêtaient à se poser pour la nuit, justement dans le champ où il reste quelques grains de maïs.

Les couchers de soleil à la lumière de l’automne sont incomparables.

Et la faune locale est… adorable!