Je continue, comme je vous l’ai dit, d’adorer le chant du bruant à gorge blanche (suivez le lien pour lire mon premier billet à son sujet, avec des liens vers son chant si connu!) (Zonotrichia albicollis, white-throated sparrow). Et je continue, pour lui seul, à dire à voix haute, où que je sois, seule ou pas, avec le ton d’une narratrice de disque de chants d’oiseaux: BRUANT À GORGE BLANCHE. Tellement que, récemment, ma fille a entendu le chant et a déclamé, comme sa mère, BRUANT À GORGE BLANCHE! Elle n’aura six ans qu’à l’automne et j’en suis très fière, dois-je le dire plus clairement?
Cet été, malgré mes fenêtres mouchetées (dans le sens qu’elles sont couvertes de mouches noires écrasées…), j’ai réussi ces photos, et j’en suis assez contente pour justifier ce billet moins instructif mais mieux illustré que le précédent!
Ah qu’il me regardait! D’ailleurs c’est le thème de mes photos d’oiseaux depuis le début du printemps, que ce soit ou pas le fruit du hasard.
Et puis il a glissé de son perchoir incliné (une structure de tambour où sont installées nos mangeoires):
Et il est allé manger, au sol comme d’habitude. Avec les écureuils et les visiteurs ailés, il tombe bien assez de graines de tournesol par terre pour lui (et d’autres!).
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