D’abord, les oeufs. J’aime les oeufs. Les nôtres viennent d’une ferme toute proche: parfait! Et les coquilles? Ah là je suis une vraie faciste! Oui bon on peut composter les coquilles d’oeufs, mais mes hostas, vous avez vu mes hostas? (enfin, cet été, car ma mère les a coupés en prévision de l’hiver) Je ne le savais pas, mais j’ai de très nombreux hostas (ils étaient cachés par toutes les autres vivaces et par les foutus lupins envahissants — j’y reviendrai)! Assez pour passer l’été prochain à identifier les nombreux cultivars. Ah, les hostas! Des plantes faciles, comme je les aime (et en plus je me souviens du nom, fantastique! En latin et en anglais? Même chose: hosta!). Ma mère m’a dit de couper les tiges florales des hostas que je veux voir grandir en envergure, pour qu’ils affectent toute leur énergie à la croissance (moi? je me prélassais dans leur doux parfum, oui!). À part ça? Ce que je savais déjà: les hostas sont parmi les plantes préférées des limaces. Et contre les limaces? Ben voilà, les coquilles d’oeufs écrapoues, réparties tout autour! Les limaces s’y coupent (oui c’est méchant, mais mes hostas, mes hostas!) et en meurent (enfin c’est la théorie) déshydratées (désolée, falait pas toucher à mes hostas!).
Des limaces chez nous? Eh bien non. Ou du moins, pas tant que ça, car j’en ai vu à peine deux cet été, et que m’a mère me l’a confirmé: mes hostas n’ont pas été piqués. Qu’à cela ne tienne! Rien ne pourra empêcher la campagnarde éhontée de conserver l’hiver durant toutes les coquilles de la maisonnée! Le pire qui va arriver… ce sera qu’on en aura à donner! Une petite boîte de coquilles grossièrement moulues, ça vous dirait?
écrapoues s’écrit écrapoutes.
C’est un coquille ?
Meilleure chance la prochaine fois, pour les coquilles (et il y en a, même si je les traque!)! Je me réserve le droit à la liberté italique! Je passe mes journées à traduire et à relire pour que tout soit grammatical, syntaxique, beau et compréhensible, mais il me faut avoir un tout petit bout de vie où… me lâcher lousse!
Sois heureux que je ne me sois pas trop laissée aller, car ça aurait donné écrapoutifitionnées, écrapoutisées, écrapoutisonnées… Et je n’aurais jamais fini. Quand l’hiver viendra, je t’expliquerai peut-être mon échelle du froid, qui part de frisquet pour aller à crissement frette en passant par frisquetton puis par frisquettontouillou! 🙂
C’était une tentative provocation question de me faire corriger mon blog s’ul bras.
🙂
Les coquilles, c’est bon pour les tomates aussi.
T’es drôle, toi! 🙂
(Ah mais j’ai trouvé ma solution récemment: quand je fais de petits mandats pour mes amis, je me fais payer en… livres! Pas sterling, là: papier! Pour ton blogue, méga-pépin: quand j’apprends et que c’est intéressant, j’oublie de relire et je dois recommencer!)
Pour les plants de tomate? Je note, je note!
Oui mais il faut le mettre au fond du trou, avant de piquer les longs semis au jardin. Il faut que ce soit près des racines.
Un quart de poignée suffit amplement. Ça te donnera des fruits plus gros, mais sans en faire plus.
Je te met un lien vers plus d’information. Y’en a pas vraiment plus, mais y’a une photo de blonde avec une poitrine généreuse, alors ca va pour moi.
http://www.mamashealth.com/garden/eggshells.asp
À mon tour de faire comme si je n’avais pas tout lu!
Je relis mes deux premiers paragraphes…
Non c’était primaire. Pas de second niveau. Du moins ca se le voulait.
Le troisième se voulait une niaiserie, le reste c’était mon inconscient.
Une chance que Freud est mort.
Bah, oui, il vaut mieux pour lui: il est pas mal déboulonné maintenant, ce pauvre Sigmund!