(Je picosse, là, laissez-moi picosser un peu)

On dira ce qu’on voudra contre l’apprentissage en famille (et le ministre de l’Éducation ne se gêne pas pour nous faire passer collectivement pour des incompétents négligeants qu’il faut contrôler), mais moi (monsieur le ministre), j’ai fait tester mon eau récemment, et elle n’a pas de problème de plomb. (Je n’ai même pas eu à supprimer les boissons sucrées pour que mes enfants en boivent: elle est parfaitement pure, mon eau!) Et chez nous, personne ne souffre de pénurie d’enseignantes.

Cette main haute

J’ai de la chance: j’ai réussi à éviter d’entendre la chanson en traduit du parti libéral fédéral. André Racicot en a tiré un billet qui souligne avec justesse qu’il vaut mieux laisser la traduction à… ceux qui connaissent la musique!

Cet incident met en évidence le statut précaire de la traduction au Canada. Il constitue une démonstration éclatante du danger à s’en remettre à des amateurs qui s’improvisent traducteurs.

André Racicot : Au coeur du français

Et vous, parlez-vous traduit?