Deux nouvelles de saison

  1. Après quelques jours, je suis officiellement à nouveau vraiment pas pire en attrapa-écrasage de maringouins en vol. Ah, les expertises saisonnières de l’habitant du Québec profond! 😉
  2. Sous Colombine il y avait six œufs depuis 21 jours, et sous Colombine il y a maintenant au moins deux poussins. Les autres, elle ne m’a pas encore laissé les voir et/ou ils sont en train de briser leur coquille, mais d’ici demain, on devrait bien avoir six poussins (s’il n’y a pas eu de pépin).

Ben ouais

« il faudra bientôt cesser de prétendre que Desjardins est autre chose qu’une banque. En fait, sa mission est peu à peu passée de caisse d’épargne destinée à améliorer la situation financière de la population à une institution qui cherche à maximiser ses rendements, au détriment des services aux membres »

Desjardins devient une banque, critique l’IRIS

C’est évident depuis longtemps. Et l’an passé, l’abeille a disparu du logo en alvéole. Elle représentait qui, vous pensez, l’abeille? Ben voilà.

Bravo à la protectrice du citoyen

Quand même, le Protecteur du citoyen a reçu plus d’une centaine de lettres (y compris la mienne!) au sujet de ce règlement. Un parmi d’autres que le ministre de l’Éducation veut faire adopter unilatéralement parce qu’il a raison malgré ce que tous les gens concernés en pensent.

Dans une lettre adressée au ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, M. Jean-François Roberge, la protectrice du citoyen, Mme Marie Rinfret, commente le projet de Règlement modifiant le Règlement sur l’enseignement à la maison. Elle se dit préoccupée par certains enjeux soulevés par les modifications proposées.

(…)

Selon la protectrice du citoyen, les impacts du Règlement actuel sur l’apprentissage des enfants scolarisés à la maison ont été peu ou pas documentés. Elle estime que, tant que ces impacts ne seront pas suffisamment connus, modifier le Règlement serait prématuré. De plus, elle considère primordiales les étapes de discussion et de consultation, notamment des parents. Il en va de l’adhésion de toutes les parties impliquées.

Projet de Règlement modifiant le Règlement sur l’enseignement à la maison, 13 mai 2019

Notre ami le kangourou

Récemment, après la lecture d’un livre sur l’Australie, j’ai trouvé le premier épisode (en français) de Skippy le kangourou (1966!) pour mes enfants (et ensuite la version originale d’un remake plus récent de Skippy the Bush Kangaroo). Pour la énième fois depuis 25 ans, j’ai entendu Guy A. Lepage dans ma tête…

[Contexte: à l’époque où André Robitaille animait l’émission du samedi matin de Radio-Canada qui présentait plein d’émissions animées, de l’hymne national canadien (avec enfant baveux et saut à la perche) aux Héros du samedi (ou à ce qui a suivi cette épique émission), un bon samedi que je le regardais (même si j’étais plus âgée que le public cible: André Robitaille est irrésistible!) il a eu comme invité Guy A. Lepage. En plein milieu d’un de leurs sketches, après une réplique d’André Robitaille, Guy A. Lepage, pince-sans-rire, s’est tourné vers la caméra et a dit (oui je m’en souviens comme si c’était hier matin):]

Je n’ai pas vu une telle performance d’acteur depuis celle du garde-chasse dans Skippy.

HAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA!
Il suffit de revoir ledit garde-chasse pour que la blague soit aussi drôle que la première fois à nouveau!