Bacon

Je ne sais pas si ce thème est aussi évident de votre côté du blogue que du mien, mais il me semble que je suis souvent en train de m’exclamer sur le fait que jamais au grand jamais je n’avais remis telle chose ou telle autre en question (et que là tout à coup soudainement je l’ai fait, et OH, un nouveau monde qui s’ouvre à moi, c’est-tu pas magique, ça?!). Eh bien c’est un de ces billet-là aujourd’hui, et on parle (le titre était un indice!)… de bacon.

C’est une copine qui m’a ouvert les yeux sans le savoir un jour quand, dans un de ses billets, elle a nonchalament écrit qu’une de ses façons favorites de faire cuire du bacon était… Mais attendez un instant! UNE de ses façons, pluriel? Voyons donc! Du bacon c’est dans la poêle que ça se fait (avec un pare-éclaboussures, très chère, bien sûr!)! Ah oui, on peut aussi au four à micro-ondes, mais on gaspille alors plein de papier essuie-tout et ça donne une résultat plutôt bof et d’ailleurs j’ai plus de four à micro-ondes!) Et un autre de mes mondes de chavirer.

Depuis ce temps j’ai accepté la chose: le bacon, c’est comme n’importe quoi. On a le choix. Et donc maintenant, quand j’ai à utiliser le four de toute façon (disons que j’ai un pain qui lève…) et que j’ai besoin de bacon… j’utilise une façon nouvelle (pour moi) de le cuire (source): je place les tranches sur du papier d’aluminium sur une tôle à pâtisserie et je mets tout ça dans le four froid, que j’allume ensuite à 400 degrés F. Je pars la minuterie pour 17 à 20 minutes (20 chez nous) et je… vais faire autre chose. C’est tout! Plus d’éclaboussures, rien. Et encore une fois, je me couche moins niaiseuse le soir. (Oui bon je devais être niaiseuse rare au départ, vous penserez, mais merci de ne pas l’affirmer trop fort!)