Je vous l’ai dit: des coléus, ça se bouture en le temps de le dire, avec un succès dont il ne faut pas se priver. Je ne sais même plus combien j’en ai bouturés depuis le printemps, mais c’est une réussite pour chaque plant. De là à me dire que je pourrais et devrais bouturer tout ce que j’aime sur mon terrain il n’y a qu’un pas, allègrement franchi. Bah, bah, tout ne se bouture pas aussi facilement que ça, là! Non. Mais pour un coléus? C’est fafa!
Et vous savez quoi? Pour un chèvrefeuille aussi! 100% de succès, c’est garanti (garantie sans validité juridique aucune!)! Et justement chez nous il y a un chèvrefeuille magnifique qu’il faudra déplacer. Alors aussi bien le multiplier!
C’est tellement facile! On coupe une tige, comme ci-dessus à droite. Et on la coupe en bouts, comme ci-dessous.
Et là, tenez-vous bien: on prend les bouts et on les enfoce dans du terreau. Et c’est pas mal ça. Faudra arroser et fournir de la lumière. Ici, quelques semaines plus tard, les bébés chèvrefeuilles sont en acclimatation dehors. S’ils font des racines? HA! Ils fleurissent!
La technique est la même pour les coléus. On peut tailler les feuilles de moitié pour réduire l’évapotranspiration, mais très franchement, sans rien faire ça réussit aussi ici, alors… 😉
Shit! J’ai failli m’acheter des coléus cette semaine! Pleeeeeease, can I have some?
Hihihihi oh oui! Les miens sont devenus une pépinière! Et à ma jardinerie y en a tant, tous beaux et très différents! De ce côté, je n’ai pas craqué…. encore!