J’avoue qu’en y pensant avant d’écrire ce billet… je me suis aperçue qu’il faut vraiment être en manque de traditions pour emprunter celles des autres, mais bon… Il y a des choses qui entrent dans ma caboche et n’en ressortent plus. Depuis 2005, je me souviens que, chez Blork et Martine, on garde une bûche du sapin de Nowel pour la brûler l’année suivante. Et depuis ce temps (je suis surprise que ça remonte à si loin…), je me dis qu’un jour je ferai quelque chose comme ça. Aussi, quand l’Homme a coupé notre épinette (millésime 2009!), j’ai tout de suite annoncé qu’on en garderait un bout! Le pire? Je pense que la tradition a été abandonnée là-bas cette année: tout va bien, pas de panique, on a repris le flambeau!
Chez les campagnards, cependant, on ne se contente pas de la copie, eh non! On innove aussi! Oui, oui, oui! Et cette innovation… c’est la rondelle que voici, qui portera bientôt le chiffre 2009, et qui sera accompagnée plus tard de ses copines 2010, 2011… pour enfin devenir plus que leur somme, d’une manière ou d’une autre. Et si la bûche à brûler à Noël 2010 a l’air si esseulée dans son poêle à bois… appelons ça une autre innovation, celle du décor requis pour la tradition… oui, appelons ça ainsi. L’histoire est plus jolie que la réalité, qui est tout aussi simple (mais plus vraisamblable) et qui est que ce poêle à bois ne sera pas utilisé avant d’être inspecté, sur ordre de notre assureur, et que, encore une fois, un spécialiste des cheminées, je n’ai pas ça dans ma garde-robe (placard, Passe-Montagne, placard!)!
J’attendrai donc le chèque de copyright dans les jours qui viennent.
Ou tu peux attendre aussi de faire inspecter ton poêle avec de l’envoyer.
Premièrement, un chèque de droits d’auteur, tu dois bien le savoir, on attend ça PAS MAL plus longtemps que quelques jours! 😉
Ensuite, ma chère, tu sembles avoir abandonné tes droits cette année! (Erreur!) ;-P