J’ai vu passer la recette dans le magazine Châtelaine, et j’ai accroché: patate douce et ail, miam! Mais… clafoutis? Le clafoutis est un dessert, une pâtisserie, un gâteau plat souvent aux cerises. Or on parle maintenant un peu partout de clafoutis salés… Hmmm. Je dirais quiche sans croûte, tout simplement, et ça serait simple et compréhensible… M’enfin. Voici quand même la recette, car peu importe le nom, c’est très bon. Parfait pour un repas léger l’été!
Préchauffer le four à 425F. Sur une plaque à biscuits recouverte de papier d’aluminium, mélanger des cubes de patate douce (un grosse patate, pelée) à 45 ml d’huile d’olive. Dans un coin de la plaque, placer un bulbe d’ail dont le dessus a été coupé, et verser 15 ml d’huile d’olive sur le bulbe. Cuire environ 20 minutes (pour que les cubes de patate soient tendres) et laisser refroidir.
Réduire la température du four à 350. Huiler une assiette à quiche. Dans un bol, battre deux oeufs, 250 ml de lait, 30 ml de farine, 2,5 ml de sel, du poivre et du persil (les herbes de votre choix). Sur une planche à découper, presser l’ail pour en extraire les gousses (j’ai pu le peler facilement, en fait) et hacher le résultat. Ajouter l’ail et les cubes de patates au mélange d’oeufs, verser le tout dans le moule et parsemer de thym.
Enfourner pour environ 30 minutes. La recette originale dit 20 à 22 minutes et que le centre devrait être encore gélatineux. Cette texture-là ne m’intéresse pas (surtout quand la puce va manger le tout), alors 30 minutes, c’était idéal pour nous.
La prochaine fois? Je mettrais peut-être davantage d’ail et de patate douce. N’empêche qu’on a tous beaucoup aimé!
chez nous je crois qu’on appelle même omelette tout mélange d’oeuf et de lait, sel épices et légumes (avec fromage optionnel)… si on fait au four, on dira omelette au four!!! Tu vois on est pas plus tendance que chez vous, pis on fait pas de quiche!
Ben moi une omelette au four j’appelle ça une fritata, imagine!
Et j’appelle pas « être tendance » utiliser les mots n’importe comment, étant donné ma profession! 😉 Je ne veux pas dire que j’ai raison absolument, mais plutôt que… y aurait moyen d’occuper de nombreux linguistes longtemps avec un lexique (bilingue!) de la cuisine sous toutes ses formes! (Et j’achèterais le fruit de leur travail avec joie!)
hihi moi tsé fritata ça sonne rien, ça sonne la bonne blague. Je sais que c’est le nom, mais me revient jamais!
En cuisine je trouve qu’il y a tellement de terme c’est juste trop pour moi un moment donné et ça m’énerve! Un tel lexique pourquoi pas!
Ah mais ça, c’est comme n’importe quel sujet quand on s’y frotte. Et comme presque tout le monde cuisine… c’est pire! 🙂
Bon, comme MA n’aime pas la fritata, je lui dirai que c’est une quiche sans croûte quand je ferai cette recette qui me fait très envie!