Mon projet de plantes d’intérieur (la plupart parties de semences) se poursuit. Avec plus ou moins de succès, j’avoue. J’ai tendance à oublier les êtres vivants qui ne miaulent pas, ne gloussent pas, ou ne m’appellent ni maman ni Helene. Et puis j’ai beau lire des livres d’horticulture d’un bout à l’autre, je ne me souviens pas de tout au bon moment et j’ai l’esprit ailleurs au lieu de fouiller pour améliorer la vie de mes végétaux. N’empêche que je n’ai jamais eu autant de plantes d’intérieur, et que la plupart vont bien (ou pas si mal). Oui, malgré les chatolescents, qui me forcent à rempoter (je sais que c’est à éviter bien souvent, mais quand le pot en terre cuite devient un casse-tête que mon fils assemble… pas le choix!) et à déplacer régulièrement. Ce clémentinier (deux, en fait), parti de semences le printemps passé, me rend heureuse. Pas que j’espère en manger le fruit un jour, non. C’est son vert pimpant, ce sont ses feuilles en cœur, son port joyeux. Je l’aime!
