À côté du jardin d’eau pousse un arbuste aux feuilles charnues, qui est resté vert tout l’hiver: un rhododendron (merci à l’ancienne propriétaire, car personne ici ne connaissait le nom de l’arbuste mystérieux). Le rhododendron (Rhododendron) appartient à la famille des éricacées, comme l’azalée, mais comme il en existe plus de mille espèces distinctes, pardonnez-moi de ne pas savoir exactement lequel j’ai chez moi! Le mien est partiellement à l’ombre, ce qui est parfait, et est protégé du vent par plusieurs arbres. Comme les racines de cette plante sont des racines de surface, il faudra veiller à ce qu’elle soit bien arrosée en été (surtout la première année, ce qui n’est manifestement pas mon cas!). Un paillis d’aiguilles de pin lui convient très bien et prévient la croissance de plantes indésirables: ça tombe bien, le mien est tout près de nos grands conifères!
Une fois les fleurs fanées, il vaudra mieux les enlever pour enjoliver le tout (pas que ça à faire, moi…) et prévenir les infections fongiques (d’accord, je trouverai le temps!). Une seule grappe florale s’est montrée (mais des bourgeons se montrent partout), et seules deux de ses magnifiques fleur avaient ouvert au moment de prendre la première photo. Le lendemain, abracadabra, la boule de beauté s’était exprimée! Sur le vert profond du feuillage lustré, c’est infiniment magnifique.
Certains renseignements ont été tirées de ce site (en anglais seulement).
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