Nous avons eu un magnifique cadeau pour notre dixième anniversaire campagnard: des morilles! Tardives, comme le printemps de cette année, mais nombreuses (on en avait déjà trouvé une en 2009 à notre arrivée, et une autre depuis, alors 11 cette année, c’est beaucoup!).
Mieux encore? Ma fille en a trouvé cinq à elle seule! Elle les a repérées et elle est venue nous chercher pour qu’on confirme (ce qui m’a permis d’en trouver une moi-même, ma première!) et qu’on récolte.
Bon bon, elle a refusé de goûter ensuite, quand j’ai fait une super sauce à pâtes crémeuse en suivant cette recette-là.
Mais le grand, lui, a fait des envieux au travail le lendemain, quand ses collègues ont remarqué ce qu’il avait comme lunch!
Blondes ou noires, nos morilles? Probablement blondes, me dit mon Homme, qui ajoute que nos livres lui donnent des informations contradictoires et que la sporée était plutôt couleur crème.
L’important, que je lui ai dit, c’est que c’était bon! (Tellement bon!)
Et je ne suis pas inquiète pour ma source de morilles: si quelqu’un s’en approchait, je le verrais, car… on en a trouvé tout partout autour de la porte d’entrée!
Bonheur, bonheur, bonheur…
Bonheur!
Blondes sur la dernière photo, noires sur l’avant dernière, je dirais. Est-ce les même et la lumière me joue des tours?
On n’a toujours pas mangé les nôtres, elles sont déshydratées et attendent une occasion.
Mon Homme a changé d’idées 8 fois sur blondes ou noires, malgré sa sporée et ses nombreux livres de référence (une question de régularité des alvéoles ou que sais-je encore). Elles n’ont pas le même âge (sur les photos/au moment de nos trouvailles) non plus, alors… je l’sais-tu (et oui la lumière joue des tours aussi)!
Notre morille de 2009, on l’avait laissée là, ignorants que nous étions. Autour de 2011, on en a trouvé 2 et on les a déshydratées et gardées vraiment longtemps (jusqu’à ce qu’un ami rit de nous…!). Alors cette fois j’ai pas niaisé: on les MANGE! Mélangées, et sans chichis, hihihi!