Moules à muffins

Voici mes jolis petits moules à muffins (ou enfin… à cupcakes, mais on ne va pas se retaper la même discussion qu’hier!) en silicone, essayés récemment pour la toute première fois. Eh bien l’essai a été très concluant! Je ne voulais plus de petits machins en papier… ni me taper le travail de nettoyer mes moules conventionnels (en l’absence de petits machins en papier)… surtout que j’ai tendance à oublier le papier et à mordre dedans (je ne vous le recommande pas en public… croyez-moi!). Ce que je ne savais pas à l’achat, c’est que pour utiliser ces moules il faut les placer sur une plaque à biscuits. Bon, j’aurais dû y penser: les placer dans le four un à un n’est pas l’idée du siècle!

Pour les remplir, facile: il y a une ligne dans chaque moule, qu’il suffit de suivre. Par contre, ce faisant… j’ai été déçue de ne pas voir la pâte de mes cupcakes gonfler par-dessus le moule. Encore dans mon schème de pensée petits machins en papier, je pensais glacer mes gâteaux sans enlever le moule, et là ça devenait quasi impossible. Eh, oh, campagnarde! Pourquoi te compliquer ainsi la vie? (Parce que mes moules sont jolis, et que je les imaginais déjà sur la table, ayant fière allure…) Eh oui: il suffit de pousser sur le gâteau pour que le moule l’expulse! Si simple que je ne me vois pas retourner à mes moules de métal!

On peut mettre ces moules au lave-vaisselle. Bon. Peut-être dans votre super modèle de lave-vaisselle, mais ici le dinosaure qui en fait office les projetterait dans tous les sens, et je les trouverais pleins de résidus qui devraient autrement se déposer dans le filtre. Pas grave! Un peu d’eau chaude et de savon, et mes moules sont prêts… pour la prochaine fois. Campagnarde? Satisfaite et convaincue.

Autre achat à but pâtissier de chez Golda, dont un étage est visible ici: ma grille repliable pour laisser les trucs refroidir. Vous le savez: toutes les recettes de gâteaux finissent par vous demander de laisser le délice refroidir sur une grille. Eh ben j’ai passé 34 ans sans cette grille (donc 28 ans de cuisine de plus en plus intensive)! On s’entend: on peut vivre sans! Mais je me la suis offerte et depuis je jubile (comme quoi vaut mieux patienter hyper longtemps, car ensuite la satisfaction est fichtrement plus durable!)!