Je vous l’ai déjà dit, j’adore les baies. Autour du terrain et de la maison, on trouve déjà des fraises, des plants de bleuets et des framboisiers. Il manquait donc… des mûriers (Rubus, blackberry)! Nous en avons acheté deux: un Hardy Black et un Illini Hardy (et j’ai trouvé ce super tableau comparatif). Au prix où se vendent les plantes et arbustes, ce n’était pas urgent, mais voilà, plus vite on plante nos futurs arbres et arbustes fruitiers, plus tôt on pourra se régaler! C’est pas parce que j’entends vivre vieille que je suis patiente!
Comment donc planter des mûriers? La Pépinière Lareault me vient encore en aide avec son schéma très clair. Les deux mûriers ont donc été installés pas trop loin du lilas et du cerisier, à proximité du potager pour qu’on puisse les arroser. Des tuteurs et un fil de fer recouvert de platique ont créé une sorte de petit treillis sur lesquels les plants peuvent s’appuyer.
Point de vue linguistique/botanique, le GDT m’indique ce qui suit (franchement mélangeant, mais je me fie à mes yeux et à mes papilles!):
Le terme mûre sert à désigner deux fruits donnés par des plantes appartenant à des genres tout à fait distincts : l’un provient d’une ronce (genre Rubus), l’autre d’un arbre (genre Morus). Malgré leur origine différente, ces deux fruits possèdent des caractéristiques analogues. Le nom latin sert couramment à l’identification du fruit, même s’il désigne plutôt la plante dont il est issu.
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