J’avais lu dans les bouquins de Larry Hodgson qu’on pouvait faire du paillis avec du papier déchiqueté mais je n’avais pas encore osé. J’avais peur, très peur, de me retrouver à ramasser des petits bouts de papier pendant environ mille ans. Et puis ma déchiqueteuse est morte. Et puis pour le papier on peut faire des feux (ou partir des feux avec le papier, m’enfin). Mais il me restait un panier de déchiqueteuse plein de… déchiquetures! Eh bien je me suis fatiguée de le voir, ce panier plein. Et acheter du paillis, c’est un effort et une dépense (et il faut y penser, surtout…). Alors cette année j’innove, du moins dans un des lits, et je fais un essai. Après avoir étalé le papier-paillis, je l’ai arrosé pour ne pas que tout s’envole immédiatement. Puis le soir même on a eu de la pluie. Le lendemain, tout semblait en place encore dans le lit, pas tout autour ni ailleurs (malgré des vents forts): youpi.
Comment ça évoluera durant l’été, là est la question. Je verrai et… vous en reparlerai!
« Y penser surtout »!
You made my day!
Penser à des p’tits trucs comme ça m’épuise! Et quand je m’entends le dire, j’ai l’impression d’être … fêlée disons! Je suis ravie de ne pas être la seule!
J’ai très hâte de savoir la suite du projet; l’idée n’est pas tombée dans l’écran d’une sans papier!
🙂
En ce moment dans ce lit, y a du mesclun repiqué (auquel la pluie a dû faire le plus grand bien). Après quelques semaines de paillis blanc, pas de souci avec les petits bout de papier partout, ça semble tenir et ne PAS former de croûte! Là, c’est bête mais… je songe à racheter une déchiqueteuse. Pour le prix d’une dizaine de sacs de paillis…