Anciennement, le terrain avait une autre entrée, encore plus dangereuse et aveugle que celle qu’on utilise présentement. C’est ancien, en effet, car depuis ce temps les arbres ont beaucoup poussé et si on ouvrait maintenant l’ancienne barrière pour l’utiliser comme entrée ou sortie, il faudrait tailler des épinettes et des pins magnifiques et il n’en est tout simplement aucunement question.
Cette année, on a réutilisé des rebuts, soit des lattes inégales de bois mélangés de différents formats, qu’on nous a donnés en quantité. Côté réutilisation de baguettes, on a eu et mis en pratique plusieurs idées: bois d’allumage, treillis, tuteurs, protège-bébé-verger et justement, ornementation de clôture pochefrost.
Cet embellissement anarchique de clôture est une idée de l’Homme et une réalisation commune, car le Coco ayant été chargé de la chose avec son père mais s’étant peu à peu désintéressé de la chose, j’ai fini par m’approcher et me mêler de ce qui ne me regardait pas. En bref, les diagonales sont de moi. On verra ce que ça donnera en vieillissant, mais devant cette clôture (vu de la maison, on a des rosiers avec des fleurs simples, roses, foncées et pâles, et on entend en ajouter.
J’aime ça le concept de réutilisation des trucs qu’on obtiens gratos… Et oui, tout un chacun on aura pas les mêmes choses gratuites!
Contente de voir que cette idée a fait du chemin dans ta tête 🙂
En passant: Bonne fête!!!!
Merci 😉
Ben des trucs qui font du chemin. Pas dans l’allégresse ces temps-ci mais au moins oui, dans ma tête ça avance en titi.
Des haricots grimpants qui font de belles fleurs, ça te remplirait ça vite fait c’te clôture là! Et ils s’y plairaient, avec tous ses endroits pour s’accrocher! (C’est la première chose qui m’est passée par la tête en voyant ta photo!)
Et, sachant dans quel village tu habites, et en voyant ta photo, je crois que je suis déjà passée devant chez toi…
En fait non: le coin est carrément à l’ombre et le sol acide et compacté (faudrait leur fournir un nouveau sol, aux haricots, et même là ils peineraient sans soleil). Mes rosiers sauvages y réussissent lentement: sûrement, mais lentement! J’aurais pu mettre des haricots grimpants d’un côté de l’autre entrée, par contre.
Oui, tu es sans aucun doute déjà passée, comme Manon avant toi! Y a qu’une route qui traverse le village, et… chu d’sus. 😉
faudra bien que je revienne te faire un coucou!
Eh que t’es fine: tu t’es retenue de dire « pour voir ta fille! » 🙂
hihihi!
c’est vrai que je l’ai pas vue… mais non je songeais à toi et non à ta fille!
😉
Mais oui! Dis-moi quand tu passes dans le bout: on y est pas mal tout le temps!