Vous pourrez pas dire que je suis toujours pessimiste: je viens de trouver un bon côté à la pandémie! Oui, bon, il existe déjà plus, mais je l’ai trouvé quand même, je l’ai même vécu, et le voici: pendant la pandémie, personne ici a eu de rhume. Voilà. Ça c’est moi à mon plus optimiste des dernières années. Et comment je sais que c’était super positif pas avoir le rhume, vous devinez? Une semaine que je suis dans le brouillard mental, que je mouche des choses immondes, que je suis distraite à la moindre parole. Et là je tousse la nuit. (Pandémie ou pas, ça devait bien faire 3 ou 4 ans que je n’avais pas été malade, et là mon cerveau saisit l’occasion de se plaindre, mais alors là se plaindre… (ça doit être un rhume d’homme, tenez!) Non mais c’est assez débilitant que j’accepte même de… prendre congé. Eh ben.)
Au moins pour les enfants, ça achève, c’est déjà ça de très rassurant et positif… Et pis je vais survivre aussi. Mais je garde le masque (contrairement à tous ceux que j’ai vus dans des commerces depuis la levée de l’obligation) et mes distances. Et je me réconcillie avec l’auto-confinement. (Tout ce que ça change, c’est ça: la réconcilliation!)