TPF

Mais non, c’est pas une nouvelle taxe que je vous annonce. C’est ce que j’ai écrit sur une trentaine de couteaux étiqueteurs ce printemps (au fait, ceux-ci ont bien, très bien même, résisté à tout un été au soleil: solution d’étiquetage de semis adoptée!), pour éviter de gaspiller du ruban d’étiqueteuse. TPF? Tomate petit fruit. Des graines mélangées, pour des tomates rouges, roses, vertes, chocolat, jaunes, orange (magnifiques d’ailleurs!), blanches (jaune pâle), alouette! Vous voyez ici celles qui ont mûri à l’intérieur après le gel au sol du 18 septembre 2014 (avoir su et avoir eu l’énergie, j’aurais plutôt couvert le ptager en entier, car malgré 3 gels depuis la mi-septembre, j’aurais pu poursuivre la production presque jusqu’en novembre, et facilement…).Elles sont belles, et colorées, et elles étaient bien bonnes. Mais je n’ai pas conservé leurs semences. J’aurais pu (dû?). Mais je me pose plein de questions. Étaient-elles SI bonnes? Hmm. On peut faire mieux, je crois. Et côté productivité aussi. Et j’ai appris autre chose, cet été. Les tomates vertes (je veux dire qui mûrissent vertes, là…)? C’est pas pour moi. Je les regarde: elles sont vertes. Je les laisse là. Je reviens le lendemain, elles ont éclaté à force de trop mûrir. Ça ne m’entre pas dans la tête qu’elles sont comme ça, vertes, et qu’il faut les tâter et y goûter pour voir. Alors bof, hein. Et les tomates brunes? Même chose: ça ne me semble pas sain, j’y touche pas, oups, un peu tard… Ah, elles sont bien bonnes. Mais tant que ça? Assez pour me casser la tête et/ou gaspiller? Non. Tant mieux si vous, vous les trouvez géniales, les tomates noires, brunes, vertes. Je me réjouis devant tant de diversité! Mais je pense bien que je vais retourner aux tomates rouges, jaunes, orange et roses. D’ailleurs c’est pas mal moins compliqué avec ma fille (allez lui faire comprendre que sur ce plant-là on laisse les vertes, mais sur celui-ci, les vertes sont mûres! J’espère que vous avez beaucoup de patience sous le soleil qui plombe!).