Au mois de mai, nous avons eu des pensionnaires… ou presque! Notre cabane d’oiseaux a (enfin!) été élue domicile d’une famille ailée. C’est un couple d’étourneaux sansonnets qui a fait son nid dans la cabane. Oui bon ce n’est pas exactement l’espèce que j’aurais souhaitée (les étourneaux, on s’en reparle!), mais la cabane est ainsi faite (sa tailel et le format du trou déterminent l’espèce, les plus petites ne souhaitant pas être attaquées ni envahies par plus gros qu’elles) et placée (à 2,5 mètres du sol, à plusieurs mètres de la maison mais l’entrée vers la nôtre) que c’est cette espère qui l’a adoptée pour la première fois, alors que nous attendions depuis 3 ans révolus. Au printemps des couples l’explorent, la cabane, mais tous l’avaient dédaignée. (Maintenant j’aimerais bien récupérer le nid, mais mon Homme me dit que le poteau est craqué et que je dois plutôt appeler Hydro Québec que lui demander d’y grimper — ok!)
En tout cas, je dois le dire: une famille qui niche à portée de vue de la salle à manger, ça c’est du divertissement!
Excusez la qualité médiocre des trois prochaines photos. J’ai voulu les partager quand même, car elles ont beau être imparfaites, elles illustrent quelque chose de bien mignon. Ce que les images ne disent pas, c’est que les oisillons ont passé près d’une journée à s’égosiller tout seuls, sans secours ni sustentation parentale. Je m’en faisais beaucoup. Mais les parents sont revenus, et peu après les oisillons ont quitté le nid, et ensuite, zoum, plus de famille ailée dans la cabane. Rapide comme ça!